La véritable origine de NOËLLe Christ peut-Il être honoré par la fête de Noël ?La justification la plus fréquente
que l’on entend au sujet de Noël est que les gens ont remplacé les vieilles
coutumes et intentions païennes en disant que, maintenant, elles sont «
centrées sur le Christ. » J’en ai entendu plusieurs dire qu’ils « honoraient le
Christ » par leur observance de Noël. Le problème est que Dieu ne dit pas que
cela est acceptable à ses yeux. En fait, Il nous commande clairement de ne
pas le faire. Observer
Noël déshonore le Christ ! Il considère tout ce qui
s’y rapporte comme une abomination ! Nous verrons pourquoi bientôt. Le Christ a dit : « C’est en vain qu’ils m’honorent, en enseignant
des préceptes qui sont des commandements d’hommes » (Matth 15 :9). Noël n’a pas
été ordonné par Dieu. C’est une tradition d’hommes. Et le Christ poursuit, : «
Vous anéantissez fort bien le commandement de Dieu,
pour garder votre tradition » (Mc 7 :9). Chaque année,
dans le monde entier, des centaines de millions de personnes font exactement
cela ! Nous allons voir que Dieu nous commande
clairement, « N’imitez pas la voie des nations ». Or la majorité des gens ne Le
craignent pas, mais Dieu leur permet de décider par eux-mêmes. Les êtres
humains possèdent le libre-arbitre — libre d’obéir ou de désobéir à Dieu ! Mais
malheur à ceux qui ignore la Parole de Dieu ! Le Christ est-Il né un 25
décembre ?
Le Christ est né durant l’automne.
Plusieurs croient erronément qu’il est né au début de l’hiver, le 25 décembre !
Ils se trompent. Voyez le Adam Clarke Commentary,
volume 5, page 370, édition New York : « Il était habituel pour les Juifs
d’envoyer leurs brebis au désert aux alentours de la Pâque (tôt le printemps),
et de les ramener au bercail au début des premières
pluies. » Ces premières pluies commencent entre le début de l’automne et
la mi-automne. Si l’on poursuit la citation : « Pendant le temps de leur sortie
les bergers les surveillaient nuit et jour. Comme… le début de la pluie était tôt au mois de marchesvan, ce qui
correspond en partie aux mois d’octobre et de novembre (commençant parfois en octobre), nous
constatons que les brebis demeuraient à l’extérieur pendant tout l’été. Comme ces bergers
n’avaient pas encore ramené leurs brebis au bercail, on
peut supposer que le mois d’octobre n’avait pas encore commencé et que,
conséquemment, notre Seigneur n’est pas né un 25 décembre, parce que les
troupeaux étaient encore dans les champs. Il n’aurait pas pu naître plus tard
qu’en septembre, les
troupeaux étant toujours dans les champs, la
nuit. En nous basant sur ces faits seulement, l’idée d’une nativité en décembre devrait être abandonnée. Le pacage
des bêtes la nuit dans les champs est un fait
chronologique… Vous pouvez aussi lire les citations des Talmudistes par Lightfooth. » Luc 2 :8 nous explique que lorsque le Christ est
né. « Il y avait, dans cette même contrée, des bergers qui passaient dans les champs les
veilles de la nuit pour
garder leurs troupeaux. ». Veuillez remarquer qu’ils demeuraient dans les champs. Ceci ne s’est
jamais produit au mois de décembre. Esdras 10 :9-13 et le Cantique des
Cantiques 2 :11 montrent que l’hiver était la saison des pluies et que les
bergers ne pouvaient demeurer dans les champs la nuit.
Un grand nombre d’encyclopédies stipulent
clairement que le Christ n’est pas né un 25 décembre !L’Encyclopédie
catholique confirme
directement ce fait. En toute vraisemblance, le Christ est né en automne ! Une
longue explication technique prouverait ce point. Comme nous savons maintenant que la date du 25
décembre n’est même pas proche de la date de naissance du Christ, d’où
proviennent donc les festivals associés à cette date ? Lisez maintenant la citation suivante sous la rubrique « Noël ». « Dans le monde romain, les saturnales (17 décembre) étaient une période de réjouissances et d’échanges de cadeaux. Le 25 décembre était également considéré comme le jour de la naissance du dieu des mystères iranien Mithra, le Soleil de Justice. Le Jour de l’An romain (1er janvier), les maisons étaient décorées de verdure et de lumières, et des cadeaux étaient remis aux enfants et aux pauvres. À ces célébrations étaient ajoutés les rites germaniques et celtiques de la bûche (de Noël) provenant du temps de l’entrée en Gaule, en Bretagne et en Europe centrale des tribus teutonnes. La nourriture, la fraternisation, la bûche de Noël et autres gâteaux de la période, la verdure et les sapins, les cadeaux et les souhaits soulignaient tous différents aspects de cette période de réjouissances. Les feux et les lumières, les symboles de chaleur et de longue vie, ont toujours été associés aux festivals d’hiver, autant païens que chrétiens » (Encyclopédie Britannique, 15E édition, Vol. II, p. 903).
Une dernière référence au sujet du 25 décembre
en tant que date de naissance du Christ est nécessaire. Prenez note de
l’article paru dans le Toronto
Star en décembre 1984,
rédigé par Alan Edmonds et intitulé, « Nous
devons beaucoup aux druides et aux Hollandais » (partout, c’est nous qui
traduisons). La Réforme a quelque peu terni Noël. Déjà à cette époque certains ecclésiastiques politiciens rusés avaient adopté le festival
hivernal païen comme la prétendue date de naissance de Jésus de Nazareth et, y
avaient joint quelques autres friandises païennes afin de les rendre
acceptables. Le 25 décembre n’a pas été choisi
parce que c’était la naissance du Christ ou même parce qu’il s’en rapprochait.
Cette date fut choisie parce qu’elle coïncidait avec le festival idolâtre et
païen des saturnales !
Cette célébration doit être soigneusement examinée. Quoi qu’il en soit, nous ne
connaissons pas la date exacte de la naissance du
Christ. Bien que Dieu ait pu nous la faire connaître, Il a choisi de la cacher
aux yeux du monde ! David C. Pack
Traduit par Jean Richard
|
Sommaire 2011 |