La véritable origine de NOËL
Mélanger l’adoration du vrai Dieu et les fausses pratiques.
Le mot moderne pour expliquer le
mélange de fausses pratiques païennes et l’adoration du vrai Dieu est syncrétisme. Quiconque
faisait une telle chose dans l’ancien Israël était mis à mort (Lévitique 18
:21, 29) ! C’était très sérieux !
II Rois 17 :33 nous donne un aperçu de la façon
dont la nation d’Israël pensait et croyait, dans son esprit, adorer Dieu : «
Ainsi ils craignaient
l’Eternel, et ils
servaient leurs dieux d’après
la coutume des nations d’où on les avait transportés. »
Avez-vous bien saisi ceci ? Oui, ils craignaient
Dieu pendant qu’ils servaient d’autres dieux. Pas étonnant que le verset qui
suit immédiatement (34), dise qu’en réalité «, « ils ne craignent POINT
l’Eternel » selon la voie qu’il a prescrite. Voilà la façon dont Dieu voit les
gens se comporter aujourd’hui, malgré tout ce qu’ils peuvent penser de leurs
actions en copiant d’anciennes pratiques païennes !
Le verset 30 dit que tout cela avait été appris
au contact des « gens de Babylone » (parmi d’autres) dont le dieu principal,
nous nous en souviendrons, était Nimrod, — Baal ou Moloch —, qui nous le savons
maintenant, était la même personne.
Constatez jusqu’à quel point l’avertissement de
Dieu est spécifique dans Deutéronome 12 :29-31, et laraison pour laquelle Il les avertissait ! «
Lorsque l’Eternel, ton Dieu, aura exterminé les nations que tu vas chasser
devant toi… et que tu te seras établi dans leur pays, garde-toi de te laisser
prendre au piège en les imitant, après qu’elles auront été détruites devant
toi. Garde-toi de t’informer
de leurs dieux et de dire : Comment ces nations
servaient-elles leurs dieux ? Moi aussi, je veux faire de même.
Tu n’agiras pas ainsi à l’égard de l’Eternel, ton Dieu ; car elles servaient
leurs dieux en faisant TOUTES LES ABOMINATIONS qui sont odieuses à
l’Eternel, et même elles
brûlaient au feu leurs fils et leurs filles en l’honneur de leurs dieux. »
Plusieurs autres versets, semblables à
Deutéronome 12, devraient être étudiés. Voyez Exode 34 :10-17 ; 23 :23-33 ;
Lévitique 20 :22-26 ; Deutéronome 20 :13-18, etc. Le véritable Dieu savait que
servir d’autres dieux menait
toujours à leur sacrifier les enfants !
Deutéronome 12 :32 dit clairement que Dieu ne
veut pas que nous mélangions Ses voies avec quelque fausse voie. « Vous
observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ;
vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. »
Voilà les PAROLES CLAIRES que Dieu adresse à
tous ceux qui disent qu’ils peuvent mélanger les coutumes horribles du
paganisme tout en conservant « l’emphase sur le Christ. »
Les pratiques païennes de
l’ancien Israël dans les coutumes modernes.
Deutéronome 12 :2-4 précise un
contexte important. Dieu y dit clairement : « Vous détruirez tous les lieux où
les nations que vous allez chasser servent
leurs dieux, sur les hautes montagnes, sur les collines, et sous tout arbre vert. … vous
brûlerez au feu leurs idoles [bocages], … Vous n’agirez pas ainsi à l’égard de l’Eternel, votre Dieu. »
Veuillez prendre note des références aux «
arbres verts » et aux « bocages ». Il y a au-moins dix versets semblables dans
l’Ancien Testament mentionnant les arbres verts » en association avec
l’idolâtrie. Les historiens croient que le terme « vert » se réfère à ce qui
demeure vert toute l’année, autrement dit, les arbres à feuilles persistantes !
À nouveau, examinons encore de près l’histoire
et l’origine de quelques coutumes des saturnales encore pratiquées aujourd’hui.
Voici une citation à donner le frisson et qui provient du Dictionary of Greek and Roman
Antiquities, « Oscilla »,
3e édition, volume II. « …tous s’appliquaient à fêter et à être joyeux, des
présents étaient échangés entre amis, les foules remplissaient les rues en
criant : « Voilà les saturnales ». Selon le poète païen Virgil, une offrande
était présentée sous un arbre vert décoré. Des figurines et des masques,
appelés oscilla, étaient suspendues dans l’arbre, tout
comme dans les arbres de Noël d’aujourd’hui. L’histoire admet…qu’il n’y a aucun
doute que ces oscilla représentassent
les vestiges de sacrifices humains… »
Est-ce que toutes ces choses vous semblent
familières ? Des cadeaux, des chants dans les rues, des arbres verts, des
décorations, des offrandes au pied de l’arbre, des réjouissances, festoyer.
Elles peuvent sembler merveilleuses mais elles représentent
des choses vraiment horribles.
Les oscilla modernes ressemblent à de petits «
anges » joufflus lorsqu’ils sont suspendus dans l’arbre. Quand j’étais jeune,
je plaçais ces petits « bébés anges » dans l’arbre moi-même. Du moins je croyaisqu’ils étaient des «
bébés anges ». Quelle erreur je faisais ! Pensez-vous que quiconque parmi vos
connaissances se rend compte de ce qu’ils sont ? Bien sûr que non — mais cela
n’enlève pas le sérieux de la chose ni ne les rend moins mal aux yeux de Dieu !
Un paganisme flagrant dans l’Église.
Une autre source permet de démontrer comment
tout ceci en est venu à faire partie des coutumes observées « innocemment » par
des millions de personnes — tout en étant loin d’être « innocent » aux yeux de
Dieu. Lisez maintenant la citation de l’Encyclopédie
Britannique, 15è édition, volume 10, pages 1062-63 : « La chrétienté…par
un processus complexe et graduel…devint la religion officielle de l’empire
(romain).
Pendant un certain temps, les pièces de monnaies
ainsi que d’autres monuments continuèrent de lier les doctrines chrétiennes
avec l’adoration du soleil, pratique à laquelle Constantin s’était adonné
auparavant. Mais même après cette période, le paganisme romain continua
d’exercer d’autres influences permanentes, petites et grandes. Le calendrier
ecclésiastique a conservé un grand nombre de souvenirs des festivals
pré-chrétiens, notamment Noël, qui inclut un mélange d’éléments dessaturnales et de l’anniversaire de Mithra.
Mais plus encore, le branche dominante de la chrétienté occidentale doit à la Rome ancienne sa
discipline qui a été le garant de sa forme et de sa stabilité. »
Une autorité aussi réputée que l’Encyclopédie Britannique qui admet, pour tous ceux qui
voudront bien le lire, que ce sont les saturnales et la Rome ancienne qui ont
défini la « discipline, la stabilité et la forme » de la chrétienté occidentale
!
Ceci est une admission pour le moins renversante
!
Voici une autre citation très forte, sous la
rubrique « Christmas » du New
Schaff-Herzog Encyclopedia of Religious Knowledge, qui révèle la façon
dont ce festival idolâtre et païen s’est infiltré dans le monde « chrétien ».
(Partout dans le texte, c’est nous qui traduisons).
« À savoir jusqu’à quel point la date du
festival dépendait de la fête de Brumalia (25 décembre), qui suivait
immédiatement les saturnales (17 au 24 décembre) et, qui célébrait le jour le
plus court de l’année et fêtait le « soleil nouveau »…ne peut être déterminé
avec précision. Les saturnales et la fête de Brumalia étaient trop profondément implantées dans
les coutumes populaires pour être mis de côté par l’influence chrétienne…Le
festival païen avec ses réjouissances et ses émeutes était si populaire que les
chrétiens du temps furent heureux d’avoir une excuse leur permettant de
continuer sa célébration avec peu de changement dans l’esprit de la fête comme
dans la façon de la célébrer. Les prédicateurs chrétiens de l’Ouest et du
Proche-Orient ont protesté contre cette frivolité déplacée avec laquelle
l’anniversaire de la naissance du Christ était célébré, alors que les chrétiens
de Mésopotamie accusèrent leurs frères de l’ouest d’idolâtrie et d’adoration
du soleil parce qu’ils avaient accepté comme chrétien ce festival païen. »
Une source additionnelle révèle comment l’église
romaine a absorbé Noël en tant que célébration officielle. L’Encyclopédie Britannique,
édition 1946, dit : « Noël ne faisait pas partie des premiers festivals de
l’église…Certains Latins, aussi tôt qu’en 354, ont peut-être transféré
l’anniversaire du 6 janvier au 25
décembre qui était
alors une fête
mithriaque…ou l’anniversaire du SOLEIL invincible…Les Syriens et les
Arméniens, qui retinrent le 6 janvier, accusent les Romains d’adoration du soleil et
d’idolâtrie, soutenant…que la fête du 25 décembre avait été inventée par
les disciples de Cérinthus… »
C’est de cette façon qu’un festival païen,
célébré longtemps avant la naissance du Christ, fit son chemin jusque dans la
chrétienté reconnue.
Saviez-vous qu’au dix-septième siècle, même les
Puritains de la Nouvelle-Angleterre savaient à quel point Noël était mauvais ?
Ils en ont défendu l’observance par une loi, en 1659, dans toute la colonie de
la Baie de Massachussets. Ceux qui l’observaient étaient passibles d’amendes
et de la prison. Cela prit 200 ans (1856) avant que les gens cessent de
travailler le jour de Noël à Boston. Les Puritains en connaissaient l’origine
et la considéraient comme « païenne
et comme une fête papiste idolâtre ».
Ceux qui changent les
temps et la Loi.
Le prophète Daniel (7 :8) parle
d’une « petite corne » à propos de laquelle le verset 25 du même chapitre dit «
…prononcera des paroles contre le Très-Haut, il opprimera les saints du Très
Haut, et il espérera changer les temps et la loi ». Cette petite corne est une
grande autorité religieuse qui tente d’imposer sa propre conception des dates et des
célébrations sur un monde sans méfiance en remplacement des instructions
claires de Dieu.
Le mot hébreu utilisé pour « changer » signifie
« transformer, altérer ou fixer ». Le mot traduit par « temps » signifie «
occasions désignées, époques, moments ». Le mot hébreu traduit par « loi »
signifie « décrets ou loi de Dieu ». Cette phrase fait référence à une autorité
qui tente de transformer des occasions désignées et des époques définies dans
la loi de Dieu. Noël est certainement un exemple important qui illustre comment
une telle chose a été faite. Les instructions de Dieu ont été remplacées par
les traditions des hommes.
La citation suivante révèle comment cela s’est
produit. Elle provient également de l’Encyclopédie
Britannique sous la
rubrique « Christianisme ». « Ainsi, la liturgie de Pâques a été développée
davantage dans l’Église orthodoxe d’orient, et celle de Noël davantage dans
l’Église catholique romaine… Le calendrier chrétien est une des institutions
chrétiennes les plus répandues. La semaine de sept jours et le rythme des festivals
chrétiens ont été acceptés même par les pays les moins chrétiens. Malgré de
nombreuses tentatives énergiques d’introduire des semaines de travail
variables, la semaine de sept jours avec le dimanche de congé n’a pu être
éliminée même dans les pays communistes ayant une vue athée du monde. Même dans
les cercles et organisations athées du monde, les fêtes chrétiennes jouissent
d’une popularité incontestée en tant que jours de congé, spécialement Noël. »
En vérité, ce sont les « politiciens ecclésiastiques
» auxquels nous avons fait référence plus tôt qui ont cherché à imposer le
calendrier « chrétien » moderne à un monde inconscient. Ce sont ces « leaders »
qui ont « pensé changer les temps et la loi.
»
Le dangereux pouvoir des
mensonges.
Un des noms de Satan est Destructeur (Apocalypse 9 :11).
Nimrod-Saturne-Moloch-Baal, tout comme Satan, est un dieu du feu qui détruit et
dévore nos petits enfants.
Le vrai Jésus-Christ n’a jamais été et ne sera jamais « dans » Noël ! On ne peut Le
remettre là où Il n’a jamais été. Le « dieu de ce siècle », Satan (II Cor 4 :4)
a toujours été dans Noël. Il en est l’auteur !
Le vrai Dieu nous commande de l’adorer « en
esprit et en vérité » (Jn 4 :23-24). Cela ne cadre
pas avec le grand mensonge de Noël et du Père Noël que tous les
enfants croient si volontiers.
I Tim 4 :2 avertit ceux qui « enseignent
hypocritement des faussetés », « portant la marque de la flétrissure (grec :
cautériser) dans leur propre conscience ». Les parents peuvent « brûler » leurs
propres enfants, leur laissant une profonde cicatrice, avec la supercherie et
le mensonge de Noël !
On ne peut donner l’excuse du grand nombre de
personnes qui observent Noël car Satan, qui est appelé « père du mensonge » et
« meurtrier dès le commencement » (Jn 8 :44), « a séduit toute la Terre » (Apoc 12 :9) ! Trouvez et
lisez ce verset. Et reconnaissez aussi le fait que Noël est sans contredit un
témoignage de cette grande séduction.
Par contre le Christ fait référence à Son Église
en tant que « petit troupeau », (Lc 12 :32). Plusieurs autres versets
illustrent aussi cela. Cette Église ne possède pas un grand nombre de fidèles
comme les grandes dénominations chrétiennes bien établies de ce monde.
Que devriez-vous faire ?
Finalement, examinons ce que Dieu
dit à Son peuple de faire et comment il devrait éduquer ses enfants.
Rappelez-vous Jérémie 7 :31 qui rapporte la
condamnation d’Israël par Dieu pour avoir brûlé leurs enfants dans la vallée de
Tophet. Huit versets plus tôt, Dieu avait clairement dit ce qu’Il exigeait : «
Mais voici l’ordre que je leur ai donné : Ecoutez ma voix, et je serai
votre Dieu, et vous serez mon peuple ; marchez dans toutes les voies que je
vous prescris, afin que vous
soyez heureux. Et ils n’ont point écouté… Ils ont suivi … les penchants de
leur mauvais cœur »
Les êtres humains ne veulent pas obéir à Dieu
(Romains 8 :7). Ils préfèrent suivrent leurs propres « penchants ». Ils ne
comprennent pas que Dieu veut que leur vie se déroule « bien ». Il veut que le
bonheur, la joie et les bénédictions coulent dans leur vie. Toutes ces choses
seraient le résultat d’une telle obéissance.
Dieu a inspiré Moïse afin qu’il prévienne les
parents de la sérieuse responsabilité qu’ils doivent assumer dans la façon
d’éduquer leurs enfants. Remarquez les instructions données dans Deutéronome 6
:1, 6-7, 20-21, 25 : « Voici les commandements…
que l’Eternel, votre Dieu, a commandé de vous enseigner, afin que vous les
mettiez en pratique dans le pays dont vous allez prendre possession… Et ces
commandements, que je te donne aujourd’hui, seront dans ton cœur. Tu les inculqueras à tes enfants,
et tu en parleras quand tu seras dans ta maison, quand
tu iras en voyage, quand tu te coucheras et quand tu te lèveras… Lorsque ton fils te demandera un jour : Que signifient ces
préceptes, ces lois et ces ordonnances, que l’Eternel, notre Dieu, vous a
prescrits ? tu diras à ton fils : Nous étions esclaves de Pharaon en Egypte, et
l’Eternel nous a fait sortir de l’Egypte par sa main puissante. Nous aurons la
justice en partage, si nous
mettons soigneusement en pratique tous ces commandements devant l’Eternel,
notre Dieu, comme il nous l’a ordonné. »
Dieu délivra Israël d’Égypte —de l’esclavage —
des coutumes du monde qui les entouraient et Il leur a révélé Sa Loi. Il ne
veut pas que Son peuple retourne aux traditions, coutumes et façons dont Il les
a délivrés.
Lorsque toutes ces traditions, truffées de
symbolisme d’adoration
des anciens dieux païens, inventés par les hommes, sont
enseignées, cela ne constitue pas de l’adoration envers le vrai Créateur.
Nous ne savions pas que
Noël provenait de Babylone.
À deux reprises dans Matth 7 :16
et 20, Jésus a dit : « Vous les reconnaîtrez à leurs fruits ». Tout ce que les
gens font ou disent de bien ou de mauvais produit des fruits. Les fruits de Noël sont terribles. Cette période
est celle pendant laquelle domine l’adultère, la solitude, la jalousie,
l’ivrognerie et la conduite dangereuse au volant, les controverses familiales
(et pire), sans compter les dettes qui s’accumulent et ne peuvent parfois pas
être payées avant le mois de mars. Ce problème est si important que toutes les
églises rapportent que leur revenu, ironiquement, chute pendant cette période alors que les
gens « récupèrent » de toutes leurs dépenses.
Le véritable « esprit de
Noël ».
Le prophète Ésaïe fut inspiré d’écrire, « Crie à plein gosier, ne te
retiens pas, élève ta voix comme une trompette, et annonce à mon peuple ses
iniquités, à la maison de Jacob ses péchés ! » (És 58 :1). C’est ce que je
viens de faire. Vous venez de lire la pure vérité au sujet de l’Origine réelle
de Noël. Que ferez-vous ?
La citation qui suit provient de la brochure
intitulée « La simple vérité
au sujet de Noël », écrite par M. Herbert W. Armstrong. Elle résume la
brochure que vous venez de lire.
« Noël est devenue une saison commerciale. Cette
fête est financée, exploitée, maintenue en vogue par un déploiement inouï de
campagnes publicitaires les plus intenses de l’année…[où] vous voyez un Père
Noël de mascarade dans plusieurs magasins. Des flots de réclames nous tiennent
en haleine et nous trompent sur le « merveilleux esprit de Noël ». La presse,
qui vend les annonces, imprime des éditoriaux flatteurs, en langage fleuri,
exaltant la saison païenne, et son « esprit ». Un public crédule en est
tellement inoculé, que beaucoup s’offensent quand on leur dit la vérité ! Ainsi
se crée, année après année, « l’esprit de Noël », non point pour honorer le
Christ mais pour vendre des marchandises. C’est caractéristique de toutes les
mystifications de Satan qui se donne les apparences d’un « ange de lumière » et
se montre sous un faux aspect de bonté ! Chaque année cette débauche
commerciale effrénée engloutit des sommes qui se chiffrent par milliards de
dollars et pendant ce temps l’œuvre du Christ en souffre. Cela fait partie du
système économique de Babylone !
Nous avons proclamé être une nation chrétienne
mais nous vivons dans Babylone tel que prophétisé dans la Bible ; et nous ne
nous en rendons pas compte : « Sortez
du milieu d’elle mon peuple, afin que vous ne participiez point à ses péchés,
et que vous n’ayiez point part à ses fléaux » — maintenant près de sévir —
tel est l’avertissement qui nous est adressé dans Apocalypse 18 :4. [C’est nous
qui soulignons]
Cette année, au lieu de vous livrer à ce
commerce de cadeaux, pourquoi ne mettriez-vous pas cet argent au service de
l’œuvre de Dieu ?
David C. Pack
Traduit par Jean Richard
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