Voici venu le temps de Noël, l’enfant-dieu est descendu du ciel, pour nous apporter la paix sur la terre. Que son règne advienne dans nos cœurs et dans nos âmes. Vive les fêtes de Noël !

Noël, Noël, un cri pour allumer le soleil

A Noël l'humeur change, à son approche sa magie nous étreint, et progressivement nous nous tournons vers ce moment magnifique.

Avec joie, le cœur et l’âme s’apprête à recevoir la venue de l’enfant-dieu, en ces jours d’hiver.

A Noël, le soleil disparu renaît, nous assurant qu'au printemps la terre reverdira, le blé germera.

Alors, c’est le cœur allégé, l’âme réchauffée, que nous puisons dans nos tréfonds les résolutions afin que verdissent les espérances qu’apporte le soleil revenu.

Allumons des bougies pour ranimer le feu qui brûle en nous, allumons des bougies pour qu’à Noël notre foi se revitalise, qu’elle explose d’amour et de bonté.

A Noël fêtons les enfants, qui s’avèrent être notre promesse d’éternité.

Accueillons la joie de Noël, et ses solennités éblouissantes.

Vive Noël, que sa lumière flamboie et nous renouvelle.

Joyeux Noël aux peuples de la terre !

Mardaye Tony

Le lierre, le gui, le houx

Le mois de décembre est venu au milieu du froid et de la neige. L'hiver s’installe, mais c’est la joie, la nostalgie de l’enfance, les réunions de famille, de la chaleur humaine que Noël nous apporte.

Décorons la maison de branches de houx afin de la protéger, de lierre pour sa promesse de vie, de gui pour la fertilité.

Erigeons le sapin et accueillons Noël dans nos cœurs, accueillons la venue du rédempteur.

Vive Noël la fête de l’abondance

Lors des saturnales, une fête en l’honneur du dieu Saturne, se déroulant durant le solstice d’hiver, une fête commémorant l’âge d’or de l’humanité auquel ce dieu présida. Les Romains se livraient à de grandes réjouissances populaires à cette occasion, les tribunaux et les magistrats en congé, les exécutions suspendues, les écoles fermées, le travail cessait, interdit, sauf la cuisine.

Les Romains s’adonnaient à d’intenses activités culinaires, festoyant, banquetant et s’offrant de somptueux repas pendant toute la durée des saturnales.

Et nous pas reste, continuons à honorer cet âge d’or de l’humanité en nous réjouissant et en fêtant la venue de Jésus, le rédempteur.

Comme les Romains, nous festoyons, nous nous échangeons des présents, nous perpétuons l’esprit de ce Dieu.

Nous nous inscrivons dans une continuité humaine, nous nous insérons dans une trame ancestrale.

Noël n’est pas que la fête des enfants, Noël est la fête de l’homme.

Vive Noël, vive le soleil nouveau !

L’avent, en préparation de la Nativité

Dans les pays catholiques, l’avent se caractérise par des spectacles publiques (processions, crèches, nativité)

Dans les pays protestants ce sont les décorations visuelles domestiques qui priment, lumières et végétaux associés pour scander le temps de l’Avent : couronne de l’Avent – sapin, ruban, 4 bougies, que l’on allume seul ou le soir à chacun des 4 dimanches précédant Noël.

Editions

Noël 2014

Noël 2013

Noël 2011

Noël 2010

Noël 2009

Noël 2008

Noël 2007

Jour de l'An 2014

Jour de l'An 2013

Jour de l'An 2012

Minuit sonne.

Il est l’heure de faire tintinnabuler les clochettes Et de crier comme il y a plus de 4 000 ans « La Vierge a enfanté, la lumière est revenue » Remercions dieu de nous avoir envoyé son fils pour sauver les pécheurs.

« La Vierge a enfanté le fils unique du Dieu-Soleil, maintenant la lumière et la puissance s’étendent ».

Le pain de Noël

Savez-vous, que lors des siècles précédents, le pain que l’on mangeait à Noël dans toute la France était plus blanc que le pain habituel. Le pain chalende était un pain de froment, et il devait durer aussi longtemps que la bûche, de 8 à 15 jours.

boule de Noël

Le parallèle entre la durée de la bûche et celle du pain était concrétisé dans l’Isère par cette coutume : » Le cachafuo (bûche) avait à distance de 20 à 30 cm une entaille, et d’autres à la suite. Nous sommes enfants, aussitôt que le feu arrivait à la première entaille, nous ne mangions plus de fouace à la seconde entaille, nous ne mangions plus de tourte ; à la troisième on avait le gâteau des rois ; et aussitôt la bûche brûlée on ne nous donnait plus de pain blanc. » Plus rarement cette fournée de Noël devait durer jusqu’au mois d’avril (…) la fournée spéciale de pain blanc de Noël était conservée dans des râteliers pendus au plafond, pendant 3à 6 mois ; on le gardait pour les jours de fêtes. On affirmait que ce pain ne s’altérait pas et pouvait se garder toute l’année à Tour…